Dans la nuit de samedi à dimanche 11 juillet 2010

Je ne peux que constater, avec colère, que je ne puis plus accéder à des blogs que j’avais minutieusement construit, élaboré.  C’est bizarre que, depuis que je vais sur facebook, mon compte hotmail a été piraté, mon youtube des fonctions ne fonctionnent plus et, mes comptes de blogs qui concernent mes passions, sont innaccessibles. J’ai écrit partout et, me voici passant une demi nuit blanche du fait des milliers d’articles écrits qui sont là, sans moi.

 

Je change de thème, je dois tout changer ici. Il devient payant lorsqu’on dépasse un poid de GB. Je ne suis pas riche. Je vais raconter ce qu’il se passe tous les jours, car, je suis contrariée ; anonyme ici, je ne veux pas faire d’éclat, mais je vais écrire tout ce que je pense et tenir mon cahier de bord pour tenir les rênes de cette drôle de vie. J’ai envie de dire ce que je pense, ce que je ressens tout simplement sans chercher les mots, sans faire de littérature. Pour moi. Pour moi j’écris, en quelque sorte pour avoir des points de repères.

Quand je pense qu’avant-hier, une assistante sociale de la mutuelle me disait : » j’ai reçu un courrier d’un médecin disant que votre fille était atteinte d’un cancer »… Voilà que cette personne m’annonçait quelque chose dont je n’étais pas au courant. Quel toupet !
Quelles larmes ont coulé sur mon visage … mais ma fille n’est pas atteinte d’un cancer ! Du coup, une nuit blanche car quelque chose clochait… De nos jours, les médecins l’annoncent aux parents. Mais ma fille cadette ne souffre pas d’un cancer : tous les examens ont été faits : par contre, elle souffre.

Je pense que dans les intervenants « sociaux » de nos jours, il y a de très bonnes personnes, mais, elles se permettent un peu trop et, dans ce cas-ci, on ne peut comprendre comment une femme, qui n’est sans doute pas maman, peut annoncer, comme cela qu’elle aurait reçu une lettre d’un médecin comme quoi ma fille souffre d’un cancer.

Donc, elle m’annonce cela avant-hier, et le jour suivant, je téléphone à la mutuelle pour savoir c’est quoi exactement cette lettre.
La version fut différente, mais je continuerai demain cette anecdote, peu réjouissante, de l’erreur commise par cette personne. Tout ce que je raconte ici est réel et pourtant parfois hallucinant. Ce sera pour demain.